Reportage sur nos formation en alternance à US Thionville

Alternance Sport

Si vous suivez l’actualité d’Adjan, vous n’avez pas pu passer à côté de notre reportage à Thionville. Christophe Jammot s’est en effet rendu en Lorraine pour rencontrer les handballeurs et footballeurs du club éponyme, et ainsi recueillir leurs témoignages concernant les formations en alternance de l’Adjan Business
School. Et comme nous ne pouvions pas tout réunir en une seule vidéo, nous vous proposons de découvrir les interviews de chacun d’eux dans leur version intégrale. Entre activation de marque, sens du collectif ou volonté de professionnaliser le club, retour sur ces quelques heures passées en
compagnie des étudiants d’Adjan.

VICTORINE BOURGE :
Je m’appelle Victorine, j’ai 21 ans, j’habite à Thionville et je suis en alternance dans un magasin d’optique. Je fais de la comm’ et je vends des lunettes pour les clients. Toi, le sport, c’était plutôt le tennis au départ ?
Oui, je fais du tennis depuis l’âge de 4 ans. Je fais des compétitions, j’ai été championne de Lorraine il y a cinq ans, je fais beaucoup de matchs. Je fais beaucoup de sport à côté mais j’ai continué le tennis.
Là tu es mélangée avec, majoritairement, des garçons. On a des footballeurs, des handballeurs, c’est quoi l’état d’esprit quand vous êtes en cours ?
On rigole beaucoup, on est mélangés, on n’est pas en mode « moi je suis au foot, je ne parle pas aux handballeurs ». Non, on est tous mélangés, on rigole bien, c’est une bonne classe.
Qu’est-ce que tu aimes dans ce mélange d’entreprise et d’apprentissage en cours, même si c’est une journée par semaine on va dire ? Qu’est-ce que tu préfères dans ce rythme-là ?
C’est sympa. On a qu’une journée de cours, ça passe vite, mais après on est tous en entreprise donc on ne se parle pas trop puisqu’on travaille tous.
C’est amusant d’apprendre quelque chose et de le mettre en pratique tout de suite en entreprise ? Oui, après j’ai fait un bac pro Optique donc je connaissais un peu plus le secteur, je connaissais le milieu. J’ai été là-dedans pendant cinq ans, j’ai arrêté puis recommencé parce que mon patron m’a repris. Du coup je ne dis pas non parce que c’est dur de trouver une alternance dans ce milieu-là.

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AHLAME EL GUERRAB :
Raconte-nous un peu, qui es-tu et qu’est-ce que tu fais ?
Alors je m’appelle Ahlame, j’ai 25 ans. Je suis au club de foot de Thionville et en alternance avec Adjan. Je m’occupe de la communication et généralement aussi du sponsoring, donc de la relation avec les partenaires, etc…
Est-ce que c’est motivant d’être dans l’univers du sport, même si on fait de la comm à côté ? Tu côtoies des joueurs de l’équipe première et cette motivation, cette détermination, ont-ils la même en cours . Oui, ils sont là tout le temps et ils sont actifs aussi en cours. Il y a une bonne cohésion dans le groupe et ça nous permet de nous entraider. Moi je ne connaissais pas le monde du foot : j’ai un frère qui joue au foot mais je ne le connaissais pas comme maintenant. Je trouve que c’est cool, surtout pour la communication, ça change. J’ai eu l’occasion de travailler dans une agence de communication, donc ça n’a vraiment rien à voir, ce n’était que des sociétés. Je trouve qu’une association, c’est pas mal aussi, j’aime beaucoup. Qu’est-ce qui te plaît dans l’alternance Les cours que l’on a avec notre formateur. Il est assez présent pour nous, donc c’est assez cool. Les cours me plaisent également : j’ai fait des études de marketing mais comme là c’est plus côté sportif, ça change et j’apprends pas mal de choses à ce niveau-là Et la mise en application ? Quand tu apprends quelque chose le lundi en cours, tu as tout de suite l’occasion de le mettre en pratique au sein du club ?  Oui oui, tout de suite parce qu’on apprend pas mal de choses sur les réseaux. Donc voilà, on apprend à les utiliser intelligemment. LinkedIn, Instagram… On ne les utilise pas de la même manière donc ça nous permet d’en apprendre beaucoup plus. J’ai même appris des choses que je ne savais pas alors que j’étais déjà sur les réseaux bien avant l’alternance. Si tu devais encourager quelqu’un à venir chez Adjan Business School, qu’est-ce que tu lui dirais ? De se lancer. C’est une bonne expérience et ça n’a rien à voir avec l’école que l’on a pu avoir au collège ou au lycée. Ça nous permet d’apprendre tout en s’amusant vu qu’il y a le côté sportif qui lui est lié. C’est cool, c’est une bonne expérience, il faut se lancer !

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LILIAN GAY :
C’est quoi le hand pour toi, ici ? Tu aurais voulu être professionnel de handball ? Le hand, c’est avant tout le sport local et oui, j’ai toujours rêvé de ça. Après, ce n’est pas encore fini, peut-être que ça arrivera. C’est un rêve de gosse et j’espère que ça va se réaliser. Quand on ne devient pas professionnel, ce qui est important c’est de se former à un métier, parce qu’on ne peut pas que vivre de sa passion. C’est quoi ton cursus aujourd’hui ? Alors moi, j’ai arrêté l’école très tôt. Je ne suis pas allé jusqu’au bac mais j’ai fait des formations pour devenir entraîneur de handball. J’ai un peu mis ça de côté et cette année je suis en cours avec Adjan Business School. Je suis en alternance en tant que Négociateur Technico-Commercial.
Tu aimes bien ce côté apprentissage ? Ça change quelque chose du ballon, bien évidemment ?
Evidemment que ça change, mais on a de la chance de pouvoir lier les deux maintenant au club. C’est
quand même important de consacrer une partie de sa vie à l’école pour avoir un futur métier après notre carrière de handballeur. Toi justement, tu te rêves quoi, à part être handballeur ? J’aimerais bien travailler dans un club professionnel et l’aider à se développer. À côté de ça, pourquoi pas ouvrir ma propre agence de communication. Même si tu n’as pas été jusqu’au bac, on sent qu’il y a cette envie d’apprentissage. Oui c’est vrai. Il y a l’envie, parce qu’on a déjà des formateurs qui sont à l’écoute de nos projets et qui sont là pour nous soutenir. Ensuite, ici à Thionville, on a une classe qui a vraiment envie de développer de côté « études », c’est encourageant. Il y a une entraide comme ça, entre vous ? Oui il y a une vraie entraide parce que nous, au club de handball, on est déjà 5 ou 6 employés. On a tous le même but, donc on se soutient les uns les autres.

 

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CLÉMENT VERNEL :
Tu n’es ni handballeur, ni footballeur. Quel est ton cursus ? Alors j’ai été footballeur, j’ai fait treize ans de foot avant de faire du triathlon pendant quatre ans, de
mes 18 à mes 22 ans. J’ai voulu découvrir un autre sport, une autre performance. Et me voilà au handball, pas par pur hasard mais c’est le fruit du destin. J’ai 27 ans, j’ai déjà travaillé pendant quatre ans comme commercial pour un équipementier sportif. Il se trouve que j’ai été recruté au club pour gérer les partenariats et développer le club au niveau budgétaire et statutaire pour, si on arrive au niveau pro, être structuré et avoir les reins solides pour pouvoir rester au haut niveau. Toi, Clément, tu es déjà bien structuré mais pour autant, tu es reparti dans un nouveau cycle, une nouvelle idée, à savoir l’alternance. Que t’apporte ce cursus avec Adjan Business School ? Alors ça permet, forcément, d’avoir de nouvelles compétences au fur et à mesure, comme de remettre au goût du jour ce que j’ai pu apprendre par le passé. Tu fais ta remise à niveau ? C’est un grand mot, si je peux me permettre, mais on va dire que je développe d’autres  compétences sur des points que je ne maîtrise pas actuellement. Est-ce qu’une journée de cours c’est suffisant ? Tu aimerais avoir plus de cours ?
Pour être franc, si je suis revenu à un cursus plus ou moins scolaire c’est que j’aime les cours, j’aime apprendre, donc ça me passionne déjà de base. Après, une journée de cours c’est plutôt bien, parce que ça permet de mettre en pratique ce qu’on a pu apprendre les quatre autres jours.
C’est ça qui est passionnant ? D’apprendre et de mettre tout de suite en pratique sur le terrain ?
Exactement, on apprend des compétences qu’on met en place dès le lendemain. Tout simplement, ça permet de faire des retours sur expérience après les rendez-vous, ce genre de choses, sur des points que l’on a peut-être pas maîtrisés ou que l’on peut encore améliorer.
Disons que tu es le nouvel ambassadeur d’Adjan Business School, qu’est-ce que tu dis pour attirer les gens ?
Aussi bien pour des sportifs de haut niveau que pour des passionnés de sport, c’est un cursus qui permet de développer ses compétences (et ses valeurs aussi mine de rien) et d’associer sa passion pour le sport avec le monde professionnel. C’est vraiment un bon cursus pour allier passion, travail et apprentissage 

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