L’US Raon-l’Étape Raon, ou l’histoire d’une belle rencontre

Dans ma carrière de journaliste télé, j’ai eu le plaisir de commenter la coupe de France de football pendant 2 décennies. Et c’est vrai que le club de l’US Raon-l’Étape est un nom qui résonne. Plutôt du genre chasseur de têtes couronnées, jusqu’à atteindre une place en huitième de finale.
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Christophe Jammot est allé à la rencontre du club de l’US Raon afin d’échanger sur le projet alternance.

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Dans ma carrière de journaliste télé, j’ai eu le plaisir de commenter la coupe de France de football pendant 2 décennies. Et c’est vrai que le club de l’US Raon-l’Étape est un nom qui résonne. Plutôt du genre chasseur de têtes couronnées, jusqu’à atteindre une place en huitième de finale. Une performance notable qui fait encore date pour ce club amateur des Vosges.

Engagé dans le championnat de France de National 3, le club aux 500 licenciés cherche en permanence à se réinventer, à se structurer, bref à grandir. C’est dans cette optique de ressources nouvelles que le manager général Farid Touileb, un historique, s’est approché d’Adjan Business School.

Il ne veut pas que le club ne soit qu’un club de football, mais aussi un acteur hyper actif de la vie du territoire. Désormais, le mercato ne fonctionne pas que sur le terrain du Stade Paul Gasser mais aussi dans les bureaux. En misant sur des alternants venus d’Adjan Business School.

Je laisse Farid Touileb, conquis par le partenariat, vous raconter la suite de l’histoire, avec une passion non feinte.

Farid Touileb témoigne : 

« C’est la deuxième classe que nous ouvrons. Cette année, nous comptons 27 inscrits. Les cours à distance en raison du Covid ne me donnaient pas entière satisfaction. Aujourd’hui, nous avons aménagé des salles pour délivrer les formations. Cela apporte une nouvelle dynamique, c’est incontestable. Les entreprises locales jouent elles aussi le jeu à fond. Au club, nous avons deux secrétaires à plein temps pour gérer les équipements, les licenciés, la cohésion sociale dans son ensemble. Il y a aussi bien évidemment 32 éducateurs.

Nous menons de front les affaires sportives mais nous souhaitons également être un acteur important des actions sociétales. Aider les défavorisés, les plus démunis, c’est aussi la mission de notre club. Les alternants découvrent un métier dans un univers qui leur plaît. Et sur les 6 en poste, nous n’avons pas pris que des footeux car à Raon, nous sommes aussi dans la ruralité. Cette formation avec Adjan business School est une opportunité formidable pour nos jeunes.

Organiser les week-ends de match à domicile, organiser les déplacements de toutes nos équipes, accueillir nos partenaires, comment gérer les infrastructures du club, comprendre le financement des maillots, etc, etc… toutes ces missions sont épaulées par nos alternants. Ils découvrent ce qu’est la réalité d’un club. J’ai l’impression que nous sommes tous gagnants. Il faut quand même savoir que seulement 2 % de tous les licenciés de la FFF signeront un jour un contrat pro! Prendre des alternant ce n’est pas une mission déguisée. Il y a un vrai suivi managérial de la part du club mais aussi bien évidemment des formateurs. C’est 100% gagnant-gagnant.

« Pour nous, c’est une nouvelle richesse insoupçonnée. »

Cela permet de mobiliser notre territoire, de fédérer, de découvrir aussi des parents qui veulent s’engager à nos côtés. C’est une réelle valeur ajoutée pour l’US Raon-l’Etape. Nous sommes heureux d’être sur nos 2 jambes : une jambe sportive, la seconde citoyenne. Et la collaboration avec les équipes d’Adjan Business School est pour l’US Raon une étape de plus ». Pour sceller ce beau partenariat et soucieux de voir les jeunes équipés pour réussir, Adjan Business School fournit à chaque alternant un ordinateur portable, et cela est valable pour chaque signature de contrat d’alternance.

Ce qui est bon dans mon métier de journaliste, version presse écrite, c’est quand on a envie de s’effacer, juste pour écouter une belle histoire…

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